« On ne disait pas que c’était la guerre au début, ils disaient maintien de l’ordre. »
« Y a eu ce coup de feu, c’est la panique totale. »
« Et c’est là que j’ai réalisé que j’étais bien dans la guerre. »
« La peur, la peur, la peur. »
« On demande de faire la pacification, de les aimer et d’un autre côté, on nous dit, il faut aussi les arrêter, les torturer. »
« Quelques-uns ont craqué, il faut le dire. »
Algérie, la guerre des appelés, dimanche 3 novembre, à 20h50 sur France 5.
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